1882 |
4 octobre 1882
Guillaume Meignan à Alfred de Falloux
Monsieur le vicomte,
Vous comprenez à merveille la nouvelle situation qui m'est faite; et vous avez raison de ne me féliciter qu'avec réserve. Je vous remercie de l'intérêt persévérant que vous voulez bien me garder. C'est un ouvrage long et difficile que le mien, le S[aint] Père m'a imposé une tâche très lourde. Croyez bien, monsieur le comte, que je n'oublierai pas les intérêts que vous me recommandez. J'y ferai ce que je pourrai. Je suis avec un profond respect votre bien dévoué serviteur.
Guillaume, ev[êque] de Châlons.
Notice bibliographique
Pour citer ce document
, «4 octobre 1882», correspondance-falloux [En ligne], Troisième République, 1882, CORRESPONDANCES, BIOGRAPHIE & CORRESPONDANCES,mis à jour le : 07/04/2013