1881 |
10 juin 1881
Alfred Mézières à Alfred de Falloux
Paris, 10 juin |1881]
Monsieur le comte et cher confère1,
Laissez-moi mêler mes larmes aux vôtres et vous dire toute la part que je prends à votre douleur. C'est au père frappé lui-même deux fois qui comprend votre souffrance et qui s'y associe. Comme on sent bien, dans ces heures cruelles, la puissance de consolation qu'apporte la foi et qu'il y a de douceur encore à se réfugier dans les espérances immortelles!
Croyez je vous prie cher confrère à ma bien affectueuse sympathie.
A. Mézières.
1Alfred Mézières était membre de l’Académie française depuis le 29 janvier 1874.
Notice bibliographique
Pour citer ce document
, «10 juin 1881», correspondance-falloux [En ligne], 1881, CORRESPONDANCES, BIOGRAPHIE & CORRESPONDANCES, Troisième République,mis à jour le : 02/06/2020