1874 |
26 janvier 1874
Elme Caro à Alfred de Falloux
Lundi matin, 26 janvier 1874
Monsieur est très honoré confrère,
Merci du fond du cœur de la peine que vous prenez, au milieu de vos souffrances pour me rassurer dans mes perplexités ! Votre aimable lettre de ce matin m’a fait un grand bien.
Je pense, d’après cela, que ma visite annoncée pour demain devient inutile et j’ai grand intérêt à ménager votre fatigue qui est extrême. À défaut d’autres motifs, la reconnaissance m’en ferait une loi. Je me tiens cependant entièrement à votre disposition, si vous aviez besoin de voir pour le jour et l’heure qui vous conviendraient.
Agréez je vous prie, Monsieur et très honoré confrère, l’hommage de mes sentiments dévoués.
E. Caro
Notice bibliographique
Pour citer ce document
, «26 janvier 1874», correspondance-falloux [En ligne], Troisième République, BIOGRAPHIE & CORRESPONDANCES, CORRESPONDANCES, 1874,mis à jour le : 22/11/2022