CECI n'est pas EXECUTE 20 septembre 1878

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20 septembre 1878

Jules Le Hardy à Alfred de Falloux

20 septembre 1878

Monsieur le comte,

C’est à moi de vous remercier d’avoir bien voulu accepter ma modeste hospitalité, et je veux vous dire combien j’ai été heureux de faire votre connaissance.

Je viens de recevoir les deux ouvrages que vous m’annoncez1 et je goûterai en lisant les pensées de Madame Swetchine un charme d’autant plus grand que je n’oublierai jamais qu’elles me viennent par votre entremise.

Permettez-moi, Monsieur le comte, de vous donner la pleine assurance que ce sera toujours pour moi un vrai bonheur de visiter le Bourg d’Iré, et que les moments passés avec vous compteront pour moi parmi les meilleurs.

Mon vicaire général est en ce moment dans sa chère Bretagne près de son excellente mère. Je me fais près de vous l’interprète de tous ses sentiments de respect et d’affection, en attendant qu’il puisse lui-même vous ouvrir son cœur.

De grâce, Monsieur le comte, veuillez agréer l’hommage de mes sentiments de respectueux et pieuse vénération.

Jules Denys (Le Hardy), Évêque de Laval

1Voir lettre de Falloux à Mgr Le Hardy du 25 août 1878.


Notice bibliographique


Pour citer ce document

, «20 septembre 1878», correspondance-falloux [En ligne], Troisième République, BIOGRAPHIE & CORRESPONDANCES, CORRESPONDANCES, 1878,mis à jour le : 04/01/2023