1878 |
22 novembre 1878
Alfred de Falloux à Antonin Merley
22 novembre 1878
Monsieur,
Ma bonne foi a été surprise 1° par une lettre de vous me transmettant des paroles du pape qui ne vous ont jamais été adressées, 2° par des engagements d'évêques qui n'ont point existé et par des abonnements également fictifs. Mieux informé aujourd'hui, je retire de la façon la plus formelle les deux lettres que je vous ai écrites sur ces données trompeuses et vous interdis d'en faire usage vis-à-vis de personne, à aucun degré et sous quelque forme que ce soit, sous peine d'un désaveu public et de toute autre rigueur, autorisée par la loi, en pareille matière.
Je vous demande également de cesser tout envoi de votre correspondance autographiée ou de toute autre publication de votre agence.
J'ai l'honneur d'être Monsieur, votre très humble serviteur.
Cte de F.
