CECI n'est pas EXECUTE 25 mai 1860

Année 1860 |

25 mai 1860

Pierre-Antoine Berryer à Alfred de Falloux

25 mai 1860

Mon bon ami, combien vous ai-je, combien ne vous avons-nous pas tous regretté ? Et le grand déplaisir de ne vous avoir pas au milieu de nous s'augmentait du chagrin de vous savoir souffrant. J'aurais voulu dans les deux jours que je passe à Paris aller vous chercher à Versailles mais je n'en ai pas le loisir. Du moins ne me laissez pas sans nouvelles de votre précieuse et chère santé. L'amitié qui m'attache à vous depuis tant d'années et mes soucis pour les grands intérêts auxquels nous sommes dévoués l'un et l'autre me tourmentent sans cesse de la moindre de vos indispositions. Je ne rentrerai à Paris que le 5 juin. Écrivez-moi à Angerville par Malesherbes. Mille amitiés.

Berryer.


Notice bibliographique


Pour citer ce document

, «25 mai 1860», correspondance-falloux [En ligne], BIOGRAPHIE & CORRESPONDANCES, CORRESPONDANCES, Second Empire, Année 1852-1870, Année 1860,mis à jour le : 04/04/2013