CECI n'est pas EXECUTE 30 septembre 1882

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30 septembre 1882

Elie de Gontaut-Biron à Alfred de Falloux

 

30 septembre 1882, Cannes (Var) hôtel du Prince de Galles

Très cher ami,

En me donnant avant de quitter Paris vos Discours et Mélanges politiques1, vous m'avez fait un très précieux cadeau. La lecture de ces deux volumes m'a causé tant de plaisir et matant intéresser que je ne puis résister au désir de voler le dire, quoique bien tard. Il faut vous dire que l'un des effets les plus déplorables de l'âge chez moi est la décroissance de plus en plus rapide de la mémoire ! Et pourtant cette fois elle m'a été l'occasion d'une grande jouissance : j'ai relu avec tant d'attrait de la nouveauté vos discours et vos brochures dont j'avais conservé une impression générale mais dont beaucoup de détails, certains arguments, certains traits, etc. c'était je le confesse un peu effacé de mon souvenir. J'ai lu deux fois ces volumes et plus encore quelques parties. Votre discours sur l'expédition de Rome, celui sur la révision de la constitution tout particulièrement puis vos brochures sur le parti catholique, sur les élections de 1869, sur la contre-révolution, enfin votre allocution sur le drapeau qui selon moi est incomparable - que votre modestie me permette ce mot ! Je ne pourrais me répéter assez, mon cher ami, l'impression profonde que m'ont laissée ses œuvres de votre esprit et de votre cœur, de satisfaction avoir traduit avec tant de netteté, de courage, de raison, la politique religieuse, sociale et monarchique telle qu'elle convient à notre temps, telles qu'elles ressortent–de l'application des principes, seul capable de nous rendre la prospérité, l'honneur, le respect de nous-mêmes comme de l'Europe. S'il en est temps encore ! Assurément vous vous êtes élevé plus d'une fois dans ces pages à la plus haute éloquence, mais vous me permettrez d'y admirer plus que tout la sagesse, la perspicacité, les vues les plus élevés et plus pratique en même temps que cette connaissance approfondie de l'histoire qui vous a fourni les preuves les plus satisfaisantes à de vos arguments, l'intention et l'aspect de votre temps, l'insistance que vous mettez à ne pas le froisser tout en caractérisant énergiquement ses défauts et à montrer le parti qu'il convient d'en tirer, vos conseils aux monarchistes pour qu'il ne se fassent pas d'illusion à cet égard, la persévérance enfin avec laquelle sans crainte des injustices et des dégoûts vous montrez où est le vrai, ou le salut se trouve. Ce qu'il restera à coup sûr de ces volumes, ce sera - en ce qui vous concerne, la manifestation la plus claire, la plus éclatante de l'unité de votre vie, d'un dévouement tiré du fond de vos entrailles à votre sang même, à l'Église, à la patrie, à la monarchie - et pour nous, le programme le plus complet, le plus sage, le seul raisonnable des doctrines de gouvernement. Voilà ce qui m'a ravi, et à titre d'amis, et davantage même à titre de chrétiens de français et de royalistes, et voilà pourquoi j'ai ressenti un besoin impérieux de vous l'écrire. Je voudrais que tout le monde vous rendit la même justice que moi ! Je voudrais surtout que celui qui vous la doit plus que personne, Monsieur le comte de Chambord se fit un devoir et un honneur de le proclamer ! Mais hélas ! Vos deux volumes me remettent sous les yeux du public tout ce que vous avez dit et écrit depuis que vous êtes entrés dans la vie publique démontreront jusqu'à la dernière évidence quels sont vos doctrines, avec quelle constance vous les avez défendus, ce que valent les ridicules et odieuses calomnies dont on vous a abreuvé, en un mot, comme j'aime à le répéter, ils démontreront l'unité de votre vie.

Si je prends par exemple la question du gouvernement qui convient à la France, je retrouve à trois époques de votre vie assez éloignées l'une de l'autre - eu égard surtout aux événements accomplis -, en 1851, en 1856 et en 1872, dire dans votre discours sur la révision, dans votre brochure sur le parti catholique, et dans votre allocution à Versailles sur le drapeau, je retrouve les mêmes vues, les mêmes desseins les mêmes alarmes, les mêmes conseils exprimés presque dans les mêmes termes.

Il serait assez singulier de chercher à vous le prouver ! Mais laissez-moi me donner le plaisir de vous exposer mieux comment je le prouve amant à moi-même, comment je me charge de le prouver à tous !

En 1851 après avoir démontré que le maintien de la république ruinée la France et la condamnerait à une léthargie mortelle, ce qui est encore plus vrai en 1882 qu'en 1851 (mais la léthargie aujourd'hui est plus profonde) vous expliquez très clairement quelle est la monarchie qui peut sauver le pays quand vous vous écriez : « ne vous étonnez pas si je demande le remède ni à mes amis les royalistes tout seuls, ni à mes amis libéraux tout seuls, ni aux républicains ni aux bonapartistes, ne vous étonnez pas que comprenant ainsi le mal je ne demande le remède ni aux uns ni aux autres isolément,... je le leur demande à tous en commun, à tous ensemble, à tous indivisiblement ! »

En 1856, vous adressant plus directement aux catholiques et aux monarchistes vous leur dites : « seriez-vous donc du petit nombre de ceux qui voyant que la France s'arrête, s'imaginent qu'elle rétrograde ?... Tout tient en elle au plus ou moins de confiance, au plus ou moins de sécurité que le pouvoir lui inspire au point de vue de 89. Oui, souvent, trop souvent la France sacrifie la liberté dont on la croyait follement éprise ; mais regardez de près, vous vous apercevrez qu'elle ne livre jamais ce dépôt qu'aux mains de ceux qui ne s'inquiètent ni au sujet de l'égale répartition des charges, ni au sujet de la liberté religieuse, et, qui ne lui laissent pas craindre la suprématie d'une seule classe sur toutes les autres.

À ces heures de prostration, des hommes trop pressés de se réjouir disent : la révolution est vaincue : non elle est rassurée, ce qui est fort différent. Et vous ajoutez plus loin « depuis 60 ans notre pays à hésiter sur toutes choses, surtout excepté sur les quatre ou cinq notions générales qu'à tort ou à raison, il a rangé sous l'étiquette de 89 : maintes fois il a douté du meilleur moyen de les faire prévaloir dans la constitution de les implanter dans ses mœurs, jamais il n'a consenti à les abjurer... »

enfin dans votre allocution sur le drapeau en 1872 vous disiez : « la gloire du drapeau blanc, qui la conteste ? Mais avec une insupportable opiniâtreté, avec un aveugle comportement, une notable portion de la France voit derrière le drapeau blanc l'ancien régime et l'effarouchant cortège dont l'imagination populaire l'accompagne : rien n'est plus insensé, mais rien n'est plus certain... la France s'effraye de l'ancien régime jusqu'à la monomanie, et c'est là ce qu'elle personnifie dans le drapeau blanc. N'irritez pas cette monomanie !

J'entends dire : c'est la condition indispensable de cette autorité ferme et forte dans le pays a tant besoin (hélas ! C'est ce que le Monsieur le comte de Chambord m'a dit à Chambord) je crois que c'est le contraire qui est vrai : je crois que ceux qui parlent ainsi marche directement contre leur but. Rassurez la France sur les points où elle a tant d'ombrage, elle cessera de se montrer passionnément inquiète et passionnément jalouse du côté des institutions ; troublez nos imaginations par un symbole qui n'a d'autre portée que la valeur même que lui prête l'imagination, vous lâchez la proie pour l'ombre, et vous conduisez le pays à exiger les garanties les concessions les plus incomparables avec le tutélaire exercice de l'autorité... »

Ou je vous comprends bien mal, mon cher ami, ou j'ai raison de soutenir qu'en 1851 en 1856 et en 1872 c'est la même opinion, ce sont les mêmes idées les mêmes conseils qui émanent de votre bouche et de votre plume.

Non, vous n'avez pas plus versé du côté de la révolution que du côté du despotisme : vous n'avez cessé, vous ne cessez encore de soutenir la monarchie chrétienne est tempérée. Et nous qui vous suivons - quoique de loin - qui partageons toutes vos doctrines, qui voyons les seules chances de salut là où vous les voyez, nous vous remercions de la puissance et de l'éclat dont vous avez fait briller tout ce que nous aimons et défendons, ce qui devrait triompher finalement si la raison revenait à notre pauvre pays.

Ce que vous avez mis votre honneur à soutenir et à défendre vous le mettez à le répéter. Avec la délicatesse de votre conscience, la fierté de votre caractère et le courage de votre nature, vous êtes souvent préoccupés de l'idée qu'il n'est pas permis de se taire et qu'il faut avoir le droit de le dire Liberavi animam meam2. A Dieu ne plaise, je vous en adresse un reproche : en agissant ainsi vous avez plus d'une fois rallié comme un chef habile, des troupes débandées et découragées. Mais n'y a-t-il pas quelques réserves à faire dans l'exercice d'une qualité aussi rare et aussi noble ? C'est précisément le sujet dont nous commencions à nous entretenir un jour de ce printemps chez vous, quand l'archevêque d'Alger3 est entré. J'aurais mauvaise grâce à qualifier cette visite de trouble-fête, car elle nous a valu des renseignements bien intéressants sur l'Afrique : pourtant j'aurais aimé à retrouver l'occasion de reprendre notre entretien. Vous vous souvenez que mes scrupules portaient sur la question du drapeau : je redoutais son réveil, les susceptibilités de M. le cte de Chambord, le retour de discussions irritantes et prématurées, sans profit pour la restauration de la Monarchie que je ne crois pas imminente malheureusement !

Quoiqu'il en soit, vous en avez jugé autrement vous avez reproduit cette belle et courageuse allocution qui fait autant d'honneur à votre clairvoyance qu'à votre indépendance et que je goûte pour ma part à un si haut degré : je serai charmé, croyez le bien, d'être convaincu que vos scrupules n'étaient pas fondés. Il n'en est pas moins vrai à mes yeux et qu'il est bon de se laisser se reposer et en quelque sorte dormir certaines questions après qu'elles ont été longtemps discutées. L'on peut dire d'elle, par analogie avec certaines opérations des corps physiques, que le sommeil loin de ressembler à la mort est la période de gestation, période silencieuse pendant laquelle fonctionnent uniquement les forces naturelles et qui se termine infailliblement un jour par l'enfantement normal. N'est-ce pas le travail de toutes les idées vraies ? À mon avis c'est ainsi qu'il convient de procéder à l'égard de la question du drapeau. Elle a été l'objet de controverse longue et agitée : tout ce qu'il est possible d'en dire est épuisé. Le mieux est donc à tous les points de vue, suivant moi, de le laisser dormir : je ne doute pas qu'au moment voulu, elle se manifestera avec la solution naturelle, irrésistible, qui s'imposera à tout le monde.

Cette lettre est déjà bien longue, trop longue, chèr ami, permettez-moi cependant une dernière réflexion que me suggère encore votre discours sur la révision. J'y trouve une assertion bien douloureuse, malheureusement aussi vrai pour le passé que prophétique pour l'avenir. « Le travail qui s'est fait en Europe contre nous - disiez-vous – est parallèle à ce travail de décadence qui s'est fait chez nous.

... Au point de vue matériel, politique, la révolution n'a pas cessé de faire prendre à la France et de faire gagner à l'Europe «  et vous ne l'avez que trop bien prouvé pour ce qui est de la France. Mais vous avez eu raison d'expliquer tout de suite après, ce qu'était (ce qui n'a cessé d'être la situation de l'Europe vis à vis de chacune de vos révélations – une profonde anxiété, et une lettre entre deux intérêts contraires, l'intérêt monarchique qui l'émeut profondément d'une part, de l'autre l'intérêt de la jalousie et de la concurrence nationale qui le satisfait profondément. Et développant votre pensée vous ajoutez : « Ce qui fait que les cabinets vont d'hésitations en hésitations, de fluctuations en fluctuations depuis quarante ans, c'est qu'ils sont toujours partagés entre le sentiment monarchique qui dit à l'Europe sois affligée, et le sentiment national qui lui dit sois satisfait ! Tu subis une crise mais tu en sortiras et tu y laisseras beaucoup moins que la France, ton ancienne rivale – tends la main à toutes les révolutions, y même s'il le faut !...Voilà le double soutien de l'Europe : elle a été conduite loin pas cette politique …elle est arrivée aujourd'hui elle-même aux dernières limites. »

Rien de plus frappant que ces paroles, car rien de plus vrai quand vous les prononciez : rien n'est plus vrai encore à l'heure où nous sommes. La révolution française a fait perdre la tête à l'Europe toute entière partagée entre ce double sentiment que vous avez surpris et dépeint avec tant de sagacité, elle n'a pas compris qu'il y avait une ligne qu'elle ne devait point franchir elle a été égoïste, elle a été aveugle et elle a dépassé, sans qu'elle s'en aperçut, ces dernières limites auxquelles vous lui disiez si justement qu'elle était déjà arrivée en 1851. L'intérêt ou la passion de la jalousie et de la rivalité nationale vis-à-vis de la France l'a entraînée au point de leur faire porter de ses propres mains une atteinte mortelle à leur intérêt monarchique. 20 ans après votre discours je recueillais d'Allemagne une justification bien frappante de vos paroles un jour à Berlin en 1873, M. de Bismarck4 était chez moi : nous causions de la situation et de l'état des esprits en France « Si je n'étais pas chrétien, me dit-il, d'un air que je n'oublierai jamais, je devrais m'applaudir de tout ce que qui se passe chez vous, des violences révolutionnaires dans votre pays ! Car le contrecoup chez nous est celui-ci : les rouges deviennent roses et les roses deviennent blancs ! Je ne voulais pas le laisser sur cette étude ou sur cette ironie et je lui répondis : Monsieur le chancelier je crains que vous ne vous abusiez ! Lorsque la révolution devient le marche faire mettre feu dans un pays, elle ne tarde pas à trouver des alliés et des complices dans tous les autres ! C'est une marchandise qui passe la frontière sans souci des douaniers ! Qui avait raison de lui ou de moi ? Dans l'Allemagne Hödel5 et Nobiling6, les régicides, sans parler des socialistes, n'ont pas tardé à répondre. Et personne n'a plus contribué à ce résultat que le prince de Bismarck lui-même. Partout, à cette époque pour le triomphe de céder sa toute l'Europe et contre la France surtout il a tendu la main des révolutionnaires. Aujourd'hui, malgré des assurances trompeuses dans quelques pays, la révolution envahit toute l'Europe et avant 25 ans peut-être elle l'aura bouleversée. Tout ce qui lui reviendra pour avoir dépassé les limites nécessaires dans sa lutte contre le double sentiment que vous avez si bien dit. Il n'est donc que trop vrai de le dire : du point de vue matériel, politique, et sous le rapport de l'étendue du territoire de la population, de la force matérielle, l'Europe a gagné tout ce que la France perdait et aux pertes de cette nature se joignait un dommage d'un autre espèce, cette coalition des 3 grands états du Nord qui s'est formé aux premières explosions révolutionnaires, qui a pu sommeillé pendant de certaines périodes, mais qui est toujours prête à se réveiller sans que nous trouvions ailleurs de véritables et sures compensations ! Mais au point de vue social et moral, la France a pris une triste revanche sur l'Europe est cela par la faute des monarchies, par l'entraînement du sentiment de rivalité qui les animait contre la France. Exposer ce double résultat des pertes de la France et du gain de l'Europe par le fait de la Révolution d'une part et de l'autre de la décadence finale de l'Europe monarchique tout entière par les causes précitées, ne serait-ce pas l'objet d'un travail un peu long il est vrai mais bien intéressant et bien instructif peut-être ?

Je ne vous demanderai pas de l'entreprendre cher ami parce que je ne veux point abuser de vos forces, mais pour l'inspirer et le diriger personne n'aurait plus d'autorité que vous. Ce serait comme la continuation et le développement des idées si justes que vous vous êtes contentés de signaler en 1851. Ce serait d'ailleurs un travail douloureux, j'en conviens, et je me demande au point où en est la France, où en est l'Europe, si les esprits seraient capables de comprendre et capable de réagir ?… Ce n'est pourtant pas impossible : du moins de l'entreprendre et quels qu'en soient les résultats ce serait le cas de s'écrier : liberavi animam meam.

Il est bien temps de m'arrêter, mon cher ami ! Que vos humeurs pardonnent de mettre autant étendu, mais je ne pouvais me taire ! Il y a deux mois que je voulais vous dire tout cela : d'assez longues courses en Suisse et dans le nord de l'Italie à la découverte du soleil dont j'avais grand besoin et pas mal de misères de santé ont sans cesse entravé ma bonne volonté. Je termine pour tout abus, mais non pas sans exprimer un vœu : soyez à la restauration de la monarchie, le président du conseil des ministres ! Mais avec des démonstrations comme le banquet de Challans7 et celui de Sainte-Anne-d'Auray nous avons beaucoup de chance de mourir sous la République ou sous l'Empire ! Je ne sais ce que devient Albert [de Rességuier] : je n'ose lui demander de ses nouvelles pour ne pas fatiguer ses yeux. Adieu mon très cher ami, vous connaissez de longue date mon bien affectueux dévouement : j'aime à vous sans renouveler d'expression.

Elie de Gontaut-Biron8

Avez-vous été à Broglie9 ? Je regrette extrêmement que mon éloignement m'ait empêché d'y aller et de m'y rencontrer avec vous. Toute la France, dit-on, y compris le Béarn10, est en proie aux tempêtes : ici il fait beau et chaud, mais je n'y passerai que peu de temps et donnerais presque tout mon hiver à Versailles.

 

 

1Falloux venait de publier Discours et mélanges politiques, Paris, Plon, 1882.

2J'ai libéré mon âme.

3Mgr Charles Martial Allemand Lavigerie (1825-1892), archevêque d'Alger et de Carthage. Il sera créé cardinal en 1882.

4Bismarck, Otto Eduard Leopold von (1815-1898), homme d'état allemand. Il devint le premier chancelier (1871-1890) de l'Empire allemand.

5Hödel, Maximilian, Emil, Heinrich (1857-1878), anarchiste allemand. Ayant attenté à la vie de l'empereur Guillaume Ier, il sera décapité le 16 août 1878.

6Nobiling, Karl Eduard (1848-1878), anarchiste, il avait été proche du parti social-démocrate allemand. Ayant tenté, peu après Hödel, le 2 juin 1878, d'assassiner Guillaume Ier, il parvient néanmoins à le blesser. S'étant, peu après, tiré une balle dans la tête, il succombera un mois plus tard à ses blessures. Bismarck prendra prétexte de ces deux attentats pour édicter des lois antisocialistes.

7Ville de Vendée où le marquis de Baudry d'Asson avait organisé, le 19 août 1882, un banquet en l'honneur du comte de Chambord réunissant plus de 3.000 convives.

8Armand Marie Laurent Charles de Gontaut-Biron (1839-1884).

9Propriété de la famille d'A. de Broglie en Normandie, dans l'Eure.

10Albert de Rességuier séjournait sans doute dans le Béarn où la famille possédait un petite propriété.


Notice bibliographique


Pour citer ce document

, «30 septembre 1882», correspondance-falloux [En ligne], Troisième République, BIOGRAPHIE & CORRESPONDANCES, CORRESPONDANCES, 1882,mis à jour le : 28/03/2018