CECI n'est pas EXECUTE 18 juin 1871

1871 |

18 juin 1871

Nicolas Changarnier à Alfred de Falloux

Versailles, Dimanche, 18 juin 1871

Cher Comte,

Monseigneur d’Orléans1, pour qui vous avez une respectueuse affection, Monsieur de Rességuier, que vous aimez et moi que vous ne haïssez pas, nous avons décidé hier que nous vous supplierions de courir les prochaines échéances électorales. Un parlement dont vous ne faites pas partie n’est pas complet. Ne nous objectez pas l’état de vos nerfs. Ils suffiront dans les grandes occasions et, dans les petites, ils se refuseront.

Recommandez-moi, je vous en prie au souvenir de Madame la Comtesse de Falloux et de Mademoiselle de Falloux.

Je vous serre cordialement la main.

Changarnier.


Notice bibliographique


Pour citer ce document

, «18 juin 1871», correspondance-falloux [En ligne], Troisième République, BIOGRAPHIE & CORRESPONDANCES, CORRESPONDANCES, 1871,mis à jour le : 08/04/2018