1875 |
7 août 1875
Paul d'Haussonville à Alfred de Falloux
Paris, 7 août 1875
Monsieur et cher confrère,
Je suis à la campagne et j’ai été un peu souffrant ; c’est pourquoi je n’ai pu répondre à votre lettre, ni donner immédiatement à l’agent de notre comité les instructions nécessaires pour qu’il fasse venir notre protégé et chercher avec lui les moyens de lui venir en aide. Je lui écris aujourd’hui à ce sujet. Aussitôt que j’aurai sa réponse à ma lettre je vous le ferai parvenir. Ne doutez pas de notre empressement à faire honneur à votre recommandation en faveur d’un ancien militaire dans la situation me paraît si digne de l’intérêt que vous voulez bien lui témoigner, et pour lequel nous sommes disposés à faire tout ce qui dépendra de nous.
Agréez, Monsieur et cher collègue, l’assurance de mes sentiments de haute et affectueuse considération.
D’Haussonville (Gabriel Paul Otheninde Cléron, cte d’)