1880 |
29 novembre 1880
Eugène Labiche à Alfred de Falloux
Paris, 29 novembre 1880
Monsieur,
Je n'ose pas encore écrire, cher confrère, c'est trop nouveau.
Je vous remercie du mot charmant que vous avez bien voulu m'adresser au bas de votre carte1.
De tous les témoignages de sympathie qui m'arrivent le vôtre est certainement le plus précieux.
Veuillez agréer l'assurance de mes sentiments respectueux et dévoués
Eugène Labiche
1Sans doute un mot de félicitations pour son élection à l’Académie française.
Notice bibliographique
Pour citer ce document
, «29 novembre 1880», correspondance-falloux [En ligne], Troisième République, BIOGRAPHIE & CORRESPONDANCES, CORRESPONDANCES, 1880,mis à jour le : 04/12/2022